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https://beymedias.brightspotcdn.com/9c/92/5624c7234db181e9a97de2319da9/eurofins-scientific-sipa.jpgSelon Bpifrance, 30% environ des Greentechs françaises sont « issues de la recherche ». Une proportion élevée témoignant, selon les experts, de l’arrivée à maturité de travaux lancés il y a plus de dix ans, en particulier sur les énergies vertes, mais aussi d’un effet de mode qui facilite leur financement. Ces Deeptechs, comme on les appelle dans le jargon, « désignent des startups s’appuyant sur une technologie ayant nécessité un très important travail de R&D », décode Jean-Denis Muller, le directeur général des Instituts Carnot. Les innovations de ruptures sont particulièrement prisées des industriels, car « elles leurs offrent de véritables éléments différenciants », témoigne Daniel Hissel. Ce docteur en génie électrique a reçu la médaille de l’innovation 2020 du CNRS pour la mise au point d’un nouveau groupe électrogène fonctionnant à l’hydrogène et régulé par des algorithmes. Il le commercialise aujourd’hui à travers la start-up H2SyS, dont il est le cofondateur.
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