
Origine de l'article : PRESSE NUMERIQUE .
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Les quartiers populaires et les diasporas ont pris leur place dans le mouvement écologiste. Premiers concernés par les pollutions, ils créent des collectifs, comme Banlieue Climat, A4 ou Ghett’up, pour être au cœur des décisions.
La crise écologique ne frappe pas partout de la même manière. Selon l’origine sociale, le quartier ou le pays d’où l’on vient, la vulnérabilité aux pollutions, aux pénuries et aux catastrophes varie considérablement. Et les réponses ne peuvent être uniformes. (…)
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Enquête
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